Localisation du membre
- Région : Provence-Alpes-Côte d’Azur
- Département : Bouches-du-Rhône
- Ville : Aix-en-Provence 13100
Informations sur le profil
- Pseudo : Chloe_2
- Âge : 42 ans
- Civilité : Femme
- Recherche : Homme
- De : 30 à 60 ans
Pas de blabla, j’ai besoin de sexe, réel et sans complexe.
Je m’appelle Chloé, j’ai 42 ans, je vis à Aix-en-Provence et je travaille comme infirmière à domicile. Autant dire que j’en ai vu des corps… mais très peu qui se sont intéressés au mien.
Je suis une femme ronde. Grosse, même, selon certains. J’ai appris à composer avec mes complexes, mais j’ai aussi appris que le désir ne se mesure pas au centimètre de tour de taille.
J’ai eu très peu d’amants. Pas par manque d’envie. Mais parce que le regard des hommes m’a longtemps figée. Aujourd’hui, j’ai décidé que c’était fini.
Je veux du sexe. Sans tabous. Sans jugement. Je veux qu’un homme me prenne comme je suis : généreuse, large, chaude, avec des formes partout et une chatte qui ne demande qu’à être servie.
Je cherche des hommes respectueux mais directs. Des mecs entre 30 et 60 ans, pas obsédés par les abdos mais bien montés dans la tête (et ailleurs). J’aime les caresses longues, les pénétrations profondes, les jeux un peu bruts si l’envie monte, et je ne dis jamais non à une bonne fessée quand elle tombe au bon moment.
Je peux recevoir dans mon petit appart en périphérie d’Aix, discret et tranquille. Hygiène propre, capote toujours.
Si tu veux une femme pleine de peau, de chair, de vraie envie… je suis là. Et cette fois, je veux tout vivre. Sans retenue.
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T’as déjà eu honte de ton corps en te mettant nue ?
Oui, souvent. Mais ça m’a pas empêchée de mouiller. Et aujourd’hui, je préfère qu’on me mate, qu’on me touche, qu’on me baise, même avec mes rondeurs, que de rester seule à me doigter dans le noir.
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C’est quoi qui te fait le plus jouir ?
Quand un mec me prend en levrette, me tient bien les hanches et me fait sentir qu’il en a rien à foutre de mes bourrelets. Là je lâche tout, je gémis, je serre fort et je jouis sans retenue.
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Tu fantasmes encore souvent ?
Tout le temps. Dans ma voiture, entre deux patients. J’imagine un homme qui me plaque contre le mur, qui m’écarte les cuisses, qui m’ouvre comme j’en rêve. Et parfois, je me touche dans les toilettes juste après.
