Publié dans : Histoires érotiques
Sexuellement, j’étais une jeune femme inexpérimentée
Lorsque que j’étais encore une jeune femme, j’avais à peine 20 ans, je n’ai pas eu beaucoup de relations avec des mecs. Trois ou quatre tout au plus. A cette époque, je n’avais pas une grande expérience sexuelle. Mes copines étaient issues du même milieu que moi, du coup, on n’échangeait pas trop sur le sujet, on avait pas d’expérience à partager. Plutôt timide, ce sont les mecs qui me disaient comment se comporter au lit. Comme j’ai une belle poitrine, assez opulente et bien formée, j’ai attiré pas mal de mecs cochons qui ne pensaient plus qu’à ça. Au début, ils se comportaient plutôt bien, mais l’envie de me voir nue se faisait pressante. Dans l’intimité, vous imaginez bien qu’il y a des pratiques sexuelles que je ne cautionnais pas : sodomie, éjaculation dans la bouche ou sur le visage et tous les trucs un peu trop hard, branlette espagnole, etc… Après cette valse de relations sans intérêt, j’ai rencontré celui qui allait devenir plus tard mon mari : Daniel, un homme élégant et courtois. Ses manières de gentleman ont tout de suite séduit mes parents, l’ensemble de ma famille et amies. Au bout de deux années de vie commune, un amour passionnel conjugué à une pression familiale nous a inéluctablement poussé à sceller notre union. Une belle cérémonie de mariage dont tout le monde se souviendra. Comme dans un conte de fée, vêtue de blanc, je me suis unie à l’homme que j’attendais. Je naviguais dans un océan de bonheur.
J’ai découvert que mon mari était très porté sur le sexe
La vie suit son cours et très vite je me rends compte que Daniel, mon mari, devient de plus en plus cochon au lit. Il tente des choses qu’il n’avait jamais essayé auparavant, comme me mettre un doigt dans l’anus pendant qu’il me prend par derrière. Il sait pourtant que je ne suis pas adepte de la pénétration anale et que je lui ai toujours refusé la sodomie, dès le début de notre relation. Il est pourtant revenu à la charge, maintes et maintes fois, en vain. Une fois, alors que l’on faisait l’amour, il me pénétrait dans la position du missionnaire et je sentais qu’il allait jouir.
Subitement, il retire sa verge, l’empoigne, se masturbe, remonte d’un cran et m’éjacule sur les seins. Tel un acteur porno, il tartine ma poitrine de sa queue dégoulinante et esquisse un sourire pervers.
Je suis restée sans voix, bouche bée. J’ai découvert l’autre visage de mon mari. Celui d’un homme très porté sur le sexe. A partir de ce jour, j’avais comme l’impression, cette sensation bizarre de partager ma vie avec un homme que je ne connaissais pas. Indiscrète, j’ai décidé de fouiller un peu dans les fichiers présents sur son ordinateur. Je n’ai rien trouvé. Il est tellement méticuleux qu’il vidait chaque jour l’historique de son navigateur internet. J’étais pourtant convaincue qu’il regardait des sites porno. Nos relations intimes espacées ne pouvait satisfaire sa soif de sexe et son désir d’aller plus loin. Chaque jour, je recommençais l’opération en me disant qu’il finirait bien pas oublier de nettoyer ses traces. Bingo ! Un vendredi soir alors qu’il partait rejoindre un ami pour sa traditionnelle partie de billard, j’ai consulté son historique internet. Quelle fut ma surprise ! En cliquant sur un des liens, je suis tombée sur un site ou il était encore connecté. L’historique de ses vidéos était équivoque : salope de 18 ans partouzée, sodomie hard pour une femme à gros seins, prostituée suce un homme dans la rue … Autant de vidéos plus hard les unes que les autres. Sans le taxer de pervers, j’ai compris que je ne lui apportais pas ce qu’il cherchait sexuellement. Peut-être était-ce de ma faute s’il allait « voir ailleurs ».
J’ai regardé des films porno pour apprendre et satisfaire mon mari
Bref, j’ai décidé de prendre le taureau par les cornes et de visionner quelques vidéos porno pour m’inspirer de ces déesses du sexe qu’adule mon mari. Une éducation sexuelle en quelques sortes. La mise en application fut rapide. Un dimanche soir, alors qu’il regardait un match de foot, je me suis approchée de lui, j’ai abaissé le bas de son survêtement et j’ai sorti la verge encore molle de son slip. J’ai glissé son pénis dans ma bouche et je l’ai sucé longuement. Je voyais dans ses yeux que le plaisir était intense. Un plaisir entremêlé de surprise et de jouissance. Plus je le suçais, plus il poussait de petits cris de satisfaction. Il me tenais la tête et repoussait mes cheveux derrière mon oreille, comme pour bien profiter de la vue de ma bouche qui s’engouffre le long de sa queue. Un moment, il m’a parlé. Enfin, comme par timidité, il a chuchoté quelques mots : « je vais bientôt jouir, ça va partir, attention ». Par respect, il me prévenais qu’il allait jouir et qu’il fallait mieux que je me retire si je ne voulais pas être surprise pas l’éjaculation. J’ai pris la même intonation que lui et je lui ais répondu, en chuchotant également : « jouit moi dans la bouche ». J’ai continué à le sucer de plus belle en insistant sur son gland. D’un seul coup, j’ai senti un flot de sperme partir dans le fond de ma bouche. J’ai continué la fellation sans sourciller. Le sperme sortait de ma bouche et dégoulinait le long de mes joues. Sur le visage de mon mari, je pouvait lire un sentiment d’accomplissement. Une frustration qui s’était envolée, comme une libération. Je me suis essuyée et nous sommes allé nous coucher, comme si de rien était. Je dois avouer que cela m’avait plu. Étais-je devenue comme les femmes que je qualifiais avant : une cochonne ?
Ma première sodomie
Les jours ont passé et notre couple se réjouissait de cette nouvelle vie sexuelle qui s’offrait à lui. Mon mari était plus épanoui, je le voyais dans son comportement. Je me suis ouverte à lui. Désormais, je lui sortais le grand jeu. Au lit, il m’arrivait de grimper sur lui, de m’accroupir et chevaucher sa queue de haut en bas. Il adorait cette position. Dans cette position, j’étais dos à lui, il assistait mes mouvements en positionnant ses mains en dessous de mes fesses. Ainsi, il voyait ma vulve reluire l’intégralité de son pénis à la verticale. J’avais accepté qu’il me titille l’anus avec son doigt. Les semaines qui suivirent, je l’invitais à me sodomiser. J’avais prévu le coup et avait fait un saut à la pharmacie pour acheter du lubrifiant. Alors qu’il me baisait en missionnaire, il remontait mes cuisses contre ma poitrine, pour me pénétrer plus profondément. J’ai saisi sa queue et l’ai orientée quelques centimètres plus bas vers le tant désiré trou de balle. Avant de me mettre au lit, j’avais pris soin de lubrifier et dilater celui-ci. Doucement, j’enfonçais sa verge dans mon anus. Délicatement, de minutes en minutes, je gagnais des centimètres. Je vous mentirais en racontant que je n’avais pas mal. La douleur était présente. Très rapidement, je me suis concentrée et cette douleur s’est transformée en plaisir. Le chemin anal était tracé, mon mari me sodomisait. Nous avons renouvelé l’opération plusieurs fois, dans de nombreuses positions. A tel point qu’il me baisait plus souvent par l’anus que le vagin.
Le jour ou tout à basculé
Notre relation sexuelle avait atteint son apogée. Nous ne pouvions aller plus. Ni lui, ni moi n’étions attiré par du sexe plus hard, type sado-maso, bondage, fessée, etc … Après quelques années, nous avions fait le tour des pratiques sexuelles envisageables et je sentais que mon mari tournait en rond. Comme dans tous les couples, la routine s’installait. Un soir ou nous sommes allé en boîte de nuit avec 3 autres couples d’amis, je l’ai senti intéressé par Maryse, une femme charmante, blonde un peu rondelette. Sur la banquette de la discothèque, éméché, il me glisse à l’oreille : « elle est pas mal Maryse, elle est vraiment bien foutue ». Sur le coup, j’ai rien dit. Après tout, même en couple, chacun a le droit de trouver les autres attirants ou non. Nous avons revu le couple, Maryse et Thomas, plusieurs fois. Nous étions devenu assez proche, au point de partir en vacances ensemble. On louait une petite villa dans le sud de la France. Au fond de moi, j’avais cette petite pointe de jalousie envers Maryse, mais bon… rien de bien méchant. J’avais confiance en Daniel. Avec tous les efforts que j’avais fait pour le combler sexuellement, il ne manquerait plus qu’il aille voir ailleurs. Un matin, alors que le mari de Maryse avait dû partir prématurément pour urgence professionnelle, je suis allée faire des courses, seule car Maryse préférait rester au bord de la piscine pour écouter de la musique. Après avoir démarré la voiture je me suis rendu compte que j’avais oublié mes lunettes de soleil dans la chambre. Ma surprise fut immense quand j’ai surpris Daniel en train prendre Maryse sur le canapé. Au début, ils ne m’ont pas vu. Elle jouissait comme une salope. Il était en train de la baiser avec une intensité presque animale. Je suis entrée, ils ont stoppé net. Maryse s’est levée pour se couvrir avec un plaid qui traînait. Daniel, lui, était stoïque, la bite à l’air, il débandait. Maryse m’a supplié de ne rien dire à son mari. Je n’ai pas pu. Je suis partie, j’ai tout dévoilé. En découle, une longue descente aux enfers. J’ai tout plaqué. Heureusement que nous n’avions pas de gosses. J’ai informé mes parents, mes amis du salaud avec lequel je vivais. Une nouvelle vie s’offrait à moi. L’occasion de prendre un nouveau départ.
Comment suis-je devenue une femme Cougar
Après quelques mois, j’ai fait le deuil de ma relation avec Daniel. Je n’ai jamais souhaité avoir de nouvelles. J’avais balayé le passé. J’étais fin prête à commencer une nouvelle relation. A l’époque, j’avais 43 ans. J’étais une belle femme, très attirante. Encore aujourd’hui. Je m’habille quasiment toujours en jupe et talon. Toujours un beau décolleté pour mettre ma poitrine généreuse en avant. Je sortais essentiellement en boîte de nuit avec des copines assez chaudes. Je me suis rapidement aperçu que les jeunes hommes me tournaient autour. En rigolant, une copine m’a dit : « vas-y fait toi plaisir, tape toi un jeunot de 20 ans ». J’ai suivi son conseil sans même hésiter. Un jeune homme m’a proposé un verre et j’ai accepté. Je lui ai proposé de partir de la discothèque et de terminer la nuit chez moi. Sur le trajet, c’est moi qui conduisait. Le pauvre garçon était déjà bien alcoolisé. Pendant qu’on roulait, je le sentais qui matait mes jambes. Je portais des bas nylon et une jupe assez courte, ça devait l’exciter. J’ai commencé à lui toucher la queue. Il bandait déjà comme un malade. J’ai sorti sa verge de son pantalon pour mieux la caresser. J’étais très excitée. Cela devenait de plus en plus difficile de conduire. Je me suis arrêtée sur le bord de la route dans un chemin à l’abri des regards indiscrets. Je lui taillé une pipe dans la voiture. Il n’a pas résisté longtemps à cracher le fruit de sa jeunesse. Je le regardais, le sperme dégouliner de ma bouche. Il s’est excuser de n’avoir pu se retenir. Quand bien, je continuais de le sucer et bandait rapidement de nouveau. Ce coup-ci pas question pour moi de griller ma cartouche. Nous sommes sortis de la voiture, j’ai soulevé ma jupe et l’ai invité à me baiser comme une salope. Plein de vigueur, il me prenait énergiquement. J’ai glissé ma main le long de mon ventre, me suis emparé de sa queue et l’ai introduite dans mon cul. J’imaginais son visage : le jeune homme n’en revenait pas. A 3 heures du matin il était en train d’enculer une femme de deux fois son âge sur le bord de la route. A partir de ce moment jusqu’aujourd’hui, je suis devenue une femme cougar. Je n’ai de relation qu’avec des hommes de 18 à 38 ans. Voilà l’histoire d’une femme qui pourtant timide est devenue un véritable objet sexuel.