Publié dans : Histoires érotiques
Patrick et moi sommes un couple libéré. Nous avons découvert l’échangisme il y a quelques mois à l’occasion d’une soirée chez des amis. Ces petits coquins nous avaient invités pour passer une bonne soirée, un apéro convivial et cela s’est terminé par des câlins coquins entre femmes puis entre nous tous.Depuis ce soir-là, mon mari et moi avons trouvé de nouvelles façons de faire l’amour, de baiser et d’avoir de la complicité. Et aujourd’hui, là, maintenant, je vais vous raconter ma première expérience avec une dizaine d’hommes, vécue il y a quelques semaines dans un club libertin de notre région.
Programme de la soirée : un gangbang
Ce soir-là, il était bien prévu une soirée gangbang. Une soirée spéciale où les portes disparaissent des coins câlins qui habituellement pouvaient se fermer à clef. Tout nous avait été expliqué par la serveuse du club et c’est avec une certaine envie que nous nous étions préparés, sans pour autant prévoir quoique ce soit. Nous savons que rien n’est obligatoire, que tout est possible et malgré notre petite expérience de rencontre libertine, nous savons aussi qu’il ne faut jamais rien prévoir à l’avance dans ce genre de lieu dédié au sexe.
Avant de partir, nous avons quand même un petit peu échangé, mon homme et moi et c’est à cette occasion qu’il m’a avoué qu’il serait très excité de me voir avec plusieurs hommes qui me baiseraient à la chaîne alors que lui serait juste à côté, à me tenir la main, pendant que les coups de reins démonteraient mes orifices. Je n’étais qu’à moitié surprise, tant j’avais pu remarquer que mon mari était plutôt passif et aimer jouer le voyeur à chaque rencontre coquine que nous faisions.
L’envie d’être une salope
Ce soir là donc, je m’étais apprêtée avec plaisir. J’avais envie de jouer la salope, d’être la pute de service, celle qui allait vider les couilles des mecs présents, sans choisir qui allait venir en moi et sur moi : petite jupe très courte à carreaux, bas, talons hauts et un chemisier blanc transparent et moulant, sans soutien gorge. Mes tétons sont toujours très durs quand ils sont plaqués contre le tissu et je trouve cela très sexy et hyper sensuel de sortir ainsi.
L’arrivée au club libertin
Quand nous sommes arrivés dans le club, il était à peine 21h30, la soirée ne faisait que commencer et seuls 2 autres couples et 5 hommes étaient déjà présents. Nous avons bu un verre, papoté un peu et nous avons pris nos serviettes car nous voulions débuter par un délicieux jacuzzi.
Entre temps, trois autres hommes étaient arrivés et nous nous sommes retrouvés tous ensemble dans le vestiaire pour nous déshabiller. Je n’ai pas manqué de regarder autour de moi, mes yeux se baladaient de gauche à droite pour tenter de découvrir leur sexe avant qu’il ne soit caché par leur serviette et ma foi, j’ai bien vu qu’un des mecs avait un superbe engin alors que les deux autres étaient de taille moyenne. J’ai souri en l’observant, le gars a bien vu mon petit manège, il a souri lui aussi puis nous avons été prendre notre douche ensemble.
Mon mari me suivait discrètement. Il ne s’est pas mis à côté de ma douche, laissant la place à l’autre homme. J’en ai profité alors pour me glisser à ses côtés et je n’ai pas attendu très longtemps pour déposer mes mains sur son torse, puis ses épaules. Il se laissait faire avec un sourire charmant qui illuminait son visage et faisait briller ses yeux. Au fur et à mesure, je suis descendue avec mes mains jusqu’à sa verge qui était déjà dure. Il ne bougeait pas, appuyant sur le bouton de la douche à chaque arrêt de celle-ci.
J’ai alors commencé à le masturber, avec mes deux mains, caressant en même temps ses testicules. Son membre était épais et long, comme j’aime, mais je n’avais pas envie de le goûter en bouche, non, je voulais qu’il vienne en moi directement. J’ai donc quitté l’espace aquatique pour me diriger vers la grande chambre des coins câlins, celle ou trône fièrement un immense lit rond.
Plan cul avec plusieurs inconnu
L’inconnu, dont je ne connaissais même pas son prénom puisque nous n’avions échangé aucun mot, m’a suivie, accompagné de Patrick, juste derrière lui. Je me suis installée sur le lit, à quatre pattes, la croupe bien relevée en arrière, tendant mes fesses et mon vagin afin qu’il comprenne qu’il pouvait venir y glisser son sexe.
Il ne s’est pas fait prier, il a enfilé un préservatif et s’est rapproché de moi. Je mouillais intensément, j’avais envie qu’il me prenne, là, maintenant, tout de suite, qu’il soit le premier de la soirée, qu’il donne envie aux autres de venir le rejoindre. J’ai senti son gland juste à l’entrée de ma vulve, gonflée de désir. Quel instant de plaisir immense ! Une chaleur a envahi mon corps, je l’ai senti me pénétrer avec douceur, son gland proéminent ouvrant le passage jusqu’au fond de mon vagin.
Il a pris mes cheveux avec sa main, m’a remonté la tête et j’ai découvert une autre verge tendue, juste au niveau de mon visage. Ce n’était pas celle de mon homme. J’ai ouvert la bouche, sorti ma langue afin de déguster cette queue qui s’offrait à moi. Puis une deuxième est arrivée, suivie d’une autre. J’étais entourée de mâles excités à la vue de ce qu’il se passait devant eux.
Moi, à quatre pattes, les fesses en l’air, en train de dévorer deux verges à pleine bouche, chacune leur tour tout en me faisant prendre vigoureusement par mon inconnu d’amant. J’ai encaissé les coups de reins, j’ai crié à plusieurs reprises, la bouche remplie, c’était un moment intense, de désir, de plaisir, d’excitation. J’étais en train de devenir ce que je voulais être ce soir avant de franchir les portes du club : la pute de service, la salope de la soirée, celle qui offre, sans retenue, ses orifices à chaque homme les désirant.
Multiples orgasmes
Pour tout vous avouer, je n’ai su exactement le nombre de queues que j’ai reçues en moi, que ce soit en bouche, dans mon vagin ou dans mon anus. Je n’ai su exactement le nombre de giclées de foutre qui ont recouvert mes fesses, mon ventre, mes seins et mon visage. Je me souviens avoir crié de plaisir, hurlé telle une chienne qui hurle à la mort à chaque orgasme.
C’est Patrick, mon homme, mon amoureux, mon confident, mon complice, le lendemain matin, alors que nous étions l’un contre l’autre, sous notre duvet, au chaud, qui m’a tout dit : « 16 mecs… 16 mecs t’ont défoncée dans tous les sens ma chérie… je t’aime » et il m’a fait l’amour comme jamais il ne me l’avait fait auparavant.