Voyeur en cabine d’essayage

Publié dans : Histoires érotiques

Quand je fais mes courses au supermarché, je ne rate jamais une occasion pour jouer le voyeur et profiter parfois que ces dames soient occupées à choisir un produit dans les rayons pour tenter de mater sous leur jupe ou parfois, aussi, jeter un œil dans leur décolleté quand elles se penchent en avant. Je ne vais jamais plus loin, je suis marié et fidèle je ne cherche pas de plan cul ou autre rencontre extraconjugale, je me contente de ce que j’ai à la maison et malgré quelques frustrations typiquement masculines, je suis heureux sous la couette avec mon épouse.

Séance de shopping avec ma femme

D’ailleurs, j’accompagne régulièrement ma femme quand elle fait du shopping. Cela a deux avantages et rares sont les hommes qui l’ont compris. Madame est contente car je suis avec elle et moi j’en profite pour me rincer l’œil dans les cabines d’essayage quand un rideau reste légèrement ouvert et qu’une femme se change à l’intérieur. Cela m’est arrivé encore il n’y a pas très longtemps. Ma femme avait envie de trouver un nouveau maillot de bain et nous étions partis faire le tour des grandes enseignes dans la périphérie de notre ville. Après avoir pris trois modèles différents dans un magasin, elle s’est dirigée vers les cabines et je l‘ai naturellement suivie. Mais comme elle est hyper pudique, elle prend bien soin de fermer de chaque côté son rideau pour que personne ne puisse entrevoir ses seins ou ses fesses, même pas moi. Ma femme n’est pas une coquine du tout. Je lui avais déjà proposé de sortir une fois dans un club libertin, cela a été source de dispute durant plus d’une semaine. A la plage, elle reste en deux pièces, impossible de lui faire faire seins nus… mais je l’aime et j’accepte tout cela non sans une certaine petite tristesse.

Cabine d’essayage

En tout cas, la voisine d’essayage qui est arrivée quelques secondes après elle, n’a pas semblé être pudique, bien au contraire ! Elle s’est installée dans la cabine d’à côté et n’a pas tiré totalement le rideau de mon côté. J’ai cru un instant qu’elle avait oublié car elle est revenue dessus mais non c’était au contraire pour bien le laisser entrouvert… la coquine.
Elle a commencé alors à se déshabiller. C’était une femme d’une quarantaine d’années, très bien conservée. Elle n’était pas très grande mais encore très bien faite. Une longue chevelure brune, un petit visage rond, des grands yeux verts maquillés juste ce qu’il faut et une bouche avec des lèvres rehaussées d’un rouge bordeaux qui leur donnait un côté pulpeux comme j’aime.
Elle a retiré son pull, puis son pantalon et s’est mise totalement à poil, sans scrupule. Elle a été très rapide pour faire tout cela, comme si elle avait envie de se retrouver vite toute nue pour que je puisse mater son corps. Et pendant ce temps-là ma femme parlait toute seule dans sa cabine, disant que le bas était trop petit, qu’elle en avait marre de sa culotte de cheval, que le maillot était fait pour les gamines de 15 ans et pas pour elle, que c’était du n’importe quoi…

String dans la cabine d'essayage

Une chatte taillée en ticket de métro

J’écoutais d’une oreille seulement car j’étais plus concentré sur ce qu’il se passait à côté. La mère de famille avait des petits seins un peu tombants et une chatte rasée en forme de ticket de métro. Avant d’enfiler le haut de son nouveau soutien gorge, elle a bien pris soin de prendre ses seins à pleine mains, face au miroir et de les caresser en tournant autour de ses tétons. J’étais comme un fou à mater cette cochonne exhib qui se doutait bien que son petit manège allait m’exciter. Elle faisait tout cela naturellement, sans regarder sur le côté, sans que nos regards se croisent, mais elle savait que j’étais là et que je ne ratais rien de son exhibition dans sa cabine d’essayage.

Elle enfile un string sexy

Même pour mettre son string, elle a pris soin de bien mettre son petit cul en arrière pour enfiler une jambe puis l’autre. Je ne cessais de mater quand j’ai soudainement entendu ma femme me dire « Hey tu fais quoi, c’est la troisième fois que je te demande d’aller me chercher une taille au dessus pour un maillot !!! » Arf zut, je voyais le maillot tendu devant moi, le rideau de ma femme fermé et juste à côté, ce spectacle érotique si magnifique. Je ne voulais pas que ça s’arrête mais je devais quand même répondre à la demande de mon épouse.
Je suis donc parti rapidement vers le rayon, j’ai pris deux trois maillots en tailles différentes sans vraiment regarder à quoi cela correspondait, tout cela dans l’espoir que la salope exhib soit encore là. Hélas, à mon grand regret, je l’ai vue de loin sortir des cabines. Elle a reposé son ensemble de lingerie sur le portant pour que les vendeuses le remettent en rayon et je suis arrivé devant elle juste quand elle allait repartir. Nos regards se sont croisés pour la première fois. Elle a souri en me fixant et surtout en passant ses deux mains une nouvelle fois sur ses seins, de la même manière qu’elle avait pu le faire cinq minutes auparavant.

J’étais comblé. Je lui ai glissé un tout petit et discret merci, elle m’a de nouveau souri puis elle est partie, sans se retourner, en marchant fièrement et en dandinant des fesses.
Je me souviendrais toute ma vie de cet instant magique que tout voyeur rêve d’avoir. Même si ma femme m’a jeté comme c’est pas permis quand je suis arrivé à sa cabine. « Mais qu’est ce tu foutais ? Tu trouvais pas ou quoi ? Ca fait 5 minutes que je t’attends à moitié à poil là dans la cabine, faut pas exagérer ! ». Je me suis excusé, je lui ai tendu les maillots de bains, je lui ai souri mais dans ma tête, j’avais encore l’image de cette charmante femme les deux mains sur ses seins, en train de jouer avec ses tétons dans la cabine d’essayage, juste à côté.